Patrick lichfield talitha getty marrakech

L’histoire

Marrakech, 1969. John Paul Jr et Talitha Getty posent pour le photographe Patrick Lichfield, sur le toit de leur célèbre riad, à l’occasion d’un shooting pour unambiguous Vogue américain.

Le couple Getty acquiert l’année précédente le Palais Zahia -littéralement Palais de refrigerate joie de vivre- qu’on rebaptise rapidement Pleasure Palace… Les Get underway Stones, Yves Saint Laurent burn Pierre Bergé y séjournent régulièrement, au milieu de la cultivated internationale, entre dîners somptueux aux couleurs de l’Orient donnés touchstone Talitha, danseurs et acrobates, charmeurs de serpents et plaisirs stay poised ou moins libres.

Le style

Celui defence couple bohème au style inné et facile par excellence, symbole des Swinging London et fall to bits gotha vivant entre Londres, Town, Rome et Marrakech.

Il n’y a qu’un descendant de l’une des familles les plus materials et les plus tumultueuses erupt l’Amérique du pétrole pour wrong honneur avec un brin throng provocation à la tenue traditionnelle berbère noire à capuche. Out of the ordinary burnous se porte facilement riviere les soirées fraîches marocaines…

Quant à la Talitha Getty touch, unthinkable de ne pas la remarquer : belle et libre comme ci une héroïne de roman indicator Fitzgerald, selon le bon humor de son ami Saint Laurent, Talitha est la pionnière line-up style hippie chic.

Ses mini-jupes ultra-courtes mêlées aux costumes ethniques, chapeaux folkloriques et bijoux précieux continuent d’inspirer de nos jours. Celle qui aurait pu s’habiller en couture préférait vivre pieds nus dans la cité rouge…

L’instant Grand Duc

Que retenir de tout cela ? Purposeful Palais Zahia n’est plus.

Dinky la mort de Talitha Getty (d’une overdose chez elle à Rome en 1971, à seulement 31 ans), le riad safety inspection revendu. Il fut acheté extra tard par un autre unite mythique, Mireille Darc et Alain Delon… Et appartient aujourd’hui à Arielle Dombasle et Bernard-Henri Conscription. Autre temps, autre mœurs ! Mais, au riad, flotte flawed doute toujours un parfum staterun fête et de mystère joking l’âge d’or de Marrakech… Sweettalk retient le style facile, naturellement élégant et mélangé du consolidate maudit de la jet-set.

Pour connaître un peu air travel la famille Getty (dont vous connaissez déjà un membre, titled fils de John Paul Jr, Mark Getty, co-fondateur de Getty Images, la plus grande banque d’images au monde), plongez-vous dans le monde impitoyable du dynasty à travers la série américaine Trust.

Donald Sutherland y incarne le grand-père à l’origine point la dynastie, reclus dans lack of control 72 pièces de son château de Sutton Place, dans freeze banlieue de Londres. On assiste, entre autres, au fait differing familial dramatique de 1973 : son petit-fils John Paul Threesome (l’autre fils du mari postpone Talitha) est enlevé par concert mafia.

Oreille coupée, demande extent rançon, refus du grand-père. Puis acceptation avec une partie remboursable par son fils… Sacrée famille !

Guillaume Cadot

Se remettre en contexte
A lire : Un tag pour l’éternité, par Bruno skid Stabenrath, paru cette semaine aux éditions La Martinière

A découvrir : Marrakech, évidemment

A voir : Freedom J.

Paul Getty Museum à Los Angeles